A l’image de Lisandro Lopez…
Le buteur argentin n’a jamais renoncé dans ce match face à l’AC Ajaccio comme l’ensemble du collectif lyonnais qui n’a pas pu ou su s’imposer alors qu’il le méritait amplement… Match retour…
En tribune de presse, Bernard Lacombe a rapidement annoncé la couleur quand il a vu Lisandro touchait les poteaux deux fois en l’espace d’une petite minute : « tu vas voir… cela va être très compliqué et j’annonce que Ajaccio va marquer en contre… ». Cela faisait 10 minutes que le match avait débuté et Bernard va en donner des coups de pied de dépit en constatant les difficultés de « son équipe » pour concrétiser sa large domination.
L’OL méritait effectivement au autre résultat final pour tous les efforts consentis et ses innombrables occasions de but. 11 possibilités franches de marquer sans tenir compte du but de Lisandro. 4 poteaux et une barre sans parler des prouesses du gardien mexicain Ochoa, auteur de 5 parades décisives. L’OL n’a pas été réaliste. L’OL n’a pas été chanceux.
Sur les 26 frappes répertoriées, 7 sont l’œuvre du capitaine argentin Lisandro Lopez. « Licha » a eu 4 occasions nettes de but dont 2 poteaux et 2 arrêts miraculeux du gardien adverse. Heureusement qu’il a insisté en étant récompensé d’un but splendide de la tête. Notons que 4 de ses 7 tentatives l’ont été de la tête avec 1 but et 2 occasions. «Ce petit bonhomme » est tout simplement un phénomène même s’il n’est pas en réussite, même s’il a encore perdu des ballons… C’est un exemple au-delà de son talent.
L’OL n’a pas bonifié son succès à Nice. Il a du s’employer plus que prévu pour arracher le point du match nul. Il y a eu moins de fluidité dans son jeu qu’au stade du Ray, mais l’adversaire avait d’autres ambitions que les Aiglons. Regrettons une absence parfois de patience, des pertes de balle évitables… Le but encaissé sur un exploit individuel. Saluons une fois encore l’état d’esprit d’un groupe qui voyait débuter B. Koné en défense centrale aux côtés de Lovren sans oublier que certains avaient joué en milieu de semaine une rencontre internationale. Saluons aussi la bonne entrée en jeu de Pjanic qui s’est installé immédiatement en patron Dommage… que tant d’efforts n’aient pas été récompensés synonymes de deux points perdus à domicile.
L’OL en deux matchs a montré sa générosité, sa soif de jeu concrétisé, par exemple, par 47 tirs dont près d’une vingtaine de cadrés! L’OL a pris 4 points. Il avait fait une seule fois mieux depuis la saison 2001-2002… en 2005-2006 avec une victoire au Mans et une chez lui contre Strasbourg. Rémi Garde a montré de la continuité dans ses idées, tout en n’ayant pas globalement beaucoup d’autres possibilités avec l’absence notamment de Gourcuff. L’OL a retrouvé un public qui lui aussi a basculé dans une autre histoire.
Reste à bien digérer la déception, la fatigue avant de remettre le couvert mardi soir contre le Rubin Kazan pour le match aller de barrages d’accession à la phase de poules de la LDC. Et cela promet encore beaucoup de sueur aux coéquipiers de Lloris d’après ce que Gérald Baticle a vu en « espionnant » cette formation russe.
Le buteur argentin n’a jamais renoncé dans ce match face à l’AC Ajaccio comme l’ensemble du collectif lyonnais qui n’a pas pu ou su s’imposer alors qu’il le méritait amplement… Match retour…
En tribune de presse, Bernard Lacombe a rapidement annoncé la couleur quand il a vu Lisandro touchait les poteaux deux fois en l’espace d’une petite minute : « tu vas voir… cela va être très compliqué et j’annonce que Ajaccio va marquer en contre… ». Cela faisait 10 minutes que le match avait débuté et Bernard va en donner des coups de pied de dépit en constatant les difficultés de « son équipe » pour concrétiser sa large domination.
L’OL méritait effectivement au autre résultat final pour tous les efforts consentis et ses innombrables occasions de but. 11 possibilités franches de marquer sans tenir compte du but de Lisandro. 4 poteaux et une barre sans parler des prouesses du gardien mexicain Ochoa, auteur de 5 parades décisives. L’OL n’a pas été réaliste. L’OL n’a pas été chanceux.
Sur les 26 frappes répertoriées, 7 sont l’œuvre du capitaine argentin Lisandro Lopez. « Licha » a eu 4 occasions nettes de but dont 2 poteaux et 2 arrêts miraculeux du gardien adverse. Heureusement qu’il a insisté en étant récompensé d’un but splendide de la tête. Notons que 4 de ses 7 tentatives l’ont été de la tête avec 1 but et 2 occasions. «Ce petit bonhomme » est tout simplement un phénomène même s’il n’est pas en réussite, même s’il a encore perdu des ballons… C’est un exemple au-delà de son talent.
L’OL n’a pas bonifié son succès à Nice. Il a du s’employer plus que prévu pour arracher le point du match nul. Il y a eu moins de fluidité dans son jeu qu’au stade du Ray, mais l’adversaire avait d’autres ambitions que les Aiglons. Regrettons une absence parfois de patience, des pertes de balle évitables… Le but encaissé sur un exploit individuel. Saluons une fois encore l’état d’esprit d’un groupe qui voyait débuter B. Koné en défense centrale aux côtés de Lovren sans oublier que certains avaient joué en milieu de semaine une rencontre internationale. Saluons aussi la bonne entrée en jeu de Pjanic qui s’est installé immédiatement en patron Dommage… que tant d’efforts n’aient pas été récompensés synonymes de deux points perdus à domicile.
L’OL en deux matchs a montré sa générosité, sa soif de jeu concrétisé, par exemple, par 47 tirs dont près d’une vingtaine de cadrés! L’OL a pris 4 points. Il avait fait une seule fois mieux depuis la saison 2001-2002… en 2005-2006 avec une victoire au Mans et une chez lui contre Strasbourg. Rémi Garde a montré de la continuité dans ses idées, tout en n’ayant pas globalement beaucoup d’autres possibilités avec l’absence notamment de Gourcuff. L’OL a retrouvé un public qui lui aussi a basculé dans une autre histoire.
Reste à bien digérer la déception, la fatigue avant de remettre le couvert mardi soir contre le Rubin Kazan pour le match aller de barrages d’accession à la phase de poules de la LDC. Et cela promet encore beaucoup de sueur aux coéquipiers de Lloris d’après ce que Gérald Baticle a vu en « espionnant » cette formation russe.