La mélancolia
Elle pose ses mains à toucher mon âme croustillant.
A l'aurore,tisse un mensonge pour me complaire.
Ma voisine serait une folie,un pohemia au camp.
Ouvrant ma page blafarde sans l'intervenant,
Et puis mon amour devrait être pliant.
Ton esprit à décadent,mon esprit à filant.
Une cerise équeutée ressemble mon cœur se brise.
L'été puisse ces chaumières à ses chaises,
Un vaillant qui traverse à ton champ.
Mon seigneur, il est hypocrite en tout le temps.
Ou se trouve votre châtiment ?
La mélancolia éternelle.
Elle pose ses mains à toucher mon âme croustillant.
A l'aurore,tisse un mensonge pour me complaire.
Ma voisine serait une folie,un pohemia au camp.
Ouvrant ma page blafarde sans l'intervenant,
Et puis mon amour devrait être pliant.
Ton esprit à décadent,mon esprit à filant.
Une cerise équeutée ressemble mon cœur se brise.
L'été puisse ces chaumières à ses chaises,
Un vaillant qui traverse à ton champ.
Mon seigneur, il est hypocrite en tout le temps.
Ou se trouve votre châtiment ?
La mélancolia éternelle.