La mélancolia Elle pose ses mains à toucher mon âme croustillant. A l'aurore,tisse un mensonge pour me complaire. Ma voisine serait une folie,un pohemia au camp. Ouvrant ma page blafarde sans l'intervenant, Et puis mon amour devrait être pliant. Ton esprit à décadent,mon esprit à filant. Une cerise équeutée ressemble mon cœur se brise. L'été puisse ces chaumières à ses chaises, Un vaillant qui traverse à ton champ. Mon seigneur, il est hypocrite en tout le temps. Ou se trouve votre châtiment ? La mélancolia éternelle.